La motoneige répond à
l'attente des stations de ski qui sont confrontées aux problèmes
de pollution sonore.
En 1999, un article parlait déjà de la motoneige :
Certes en 1999, le projet du C-VELEC ne rivalisait
pas avec les rares réalisations industrielles. Elle possédait
de nombreux atouts: " insonore et inodore ", " outil idéal
pour de petites interventions " comme le signalait M. Parseillan directeur
des pistes de fond a Villard-de-Lans mais l'habillage n'était pas à
la hauteur.
Aujourd'hui, la motoneige du C-VELEC possède toujours ces qualités
mais elle n'a plus l'allure d'un " jouet bricolé "